Sablage selon le principe d'aspiration : le sablage à dépression, également appelé « sablage à injection », utilise de l'air comprimé pour générer une dépression dans le pistolet de sablage. Sous l'effet de cette dépression, l'abrasif contenu dans le réservoir est aspiré et un jet d'air abrasif se forme dans la buse de sablage avec l'air comprimé. Ce procédé de sablage se contente d'une configuration simple et d'un volume d'air relativement faible (voir aussi l'article sur l'alimentation en air comprimé et la consommation d'air comprimé).

Procédé de sablage à pression : le sablage à pression est le meilleur choix pour atteindre une puissance élevée. Il est notamment idéal pour les surfaces de grande taille ainsi que les constructions et les pièces difficiles à traiter. Ce procédé de sablage repose sur le principe de la gravité : étant donné qu'il règne une pression identique dans la cuve de sablage à pression et le tuyau de sablage / la vanne de dosage, l'abrasif peut s'écouler dans le flux d'air sous l'effet de la gravité. Cette technique de sablage nécessite plus d'air qu'avec le principe d'aspiration. Elle rend toutefois le sablage à pression plus performant en comparaison avec d'autres procédés.

Sablage selon le principe du vide : ce procédé de sablage ne repose pas vraiment sur un autre principe. Il vise plutôt à permettre un sablage sans dégagement de poussière et se prête aussi bien au principe d'aspiration qu'au procédé de sablage à pression. Le principe du vide correspond à un circuit fermé dans lequel l'abrasif et la poussière se formant à la surface sont immédiatement aspirés. La gamme Clemco dispose pour cela d'un groupe de produits dédié composé de divers appareils conçus pour différentes exigences. Pour plus d'informations sur le sablage sans poussière, cliquez ici.

Parallèlement au principe du vide, le sablage sans poussière est également possible par ajout d'eau dans le flux d'air. La poussière dégagée est alors capturée par l'eau et ne se répand pas dans l'air.